ALBERT CAMUS "La peste", 1947.
In his masterpiece "La Peste", a book about the town ORAN,
"une ville ordinaire et rien de plus qu'une préfecture française de la côte algérienne..." (p.11),
the essential concept "PIED-NOIR" (French citizen in Algeria) is not worth mentioning.
The Arab population only once :
"...celle-ci avait parlé d'une arrestation récente qui avait fait du bruit à Alger.
Il s'agissait d'un jeune employé de commerce qui avait tué un Arabe sur une plage.
Si on mettait toute cette racaille en prison,
avait dit la marchande,
les honnêtes gens pourraient respirer..." (p.56).
About COLONIALISM :
"...devant de grandes affiches invitant à souscrire à des bons du trésor,
exempts d'impôts, ou à s'engager dans l'armée coloniale..." (p.102).
One of the most important personalities in this book :
"Le jésuite Paneloux" :
"Les autorités ecclésiastiques de notre ville décidèrent de lutter contre la peste par leurs propres moyens,
en organisant une semaine de prières collectives.
A cette occasion, on avait demandé au père Paneloux de prendre la parole.
Celui-ci s'était arraché à ses travaux sur saint Augustin et l'Eglise africaine
qui lui avaient conquis une place à part dans son ordre..." (p.89).