MUSLIM TAKE-OVER IN,
"Nous sommes les indigènes de l'Europe,
les premiers occupants de cette terre,
et nous refusons a colonisation musulmane ;
nous refusons également les firmes américaines
et le rachat de notre patrimoine
par les nouveaux capitalistes venus d'Inde,de Chine, etc.
par les nouveaux capitalistes venus d'Inde,de Chine, etc.
Ils citaient
Géronimo, Cochise, Sitting Bull, ..." (p.68,69).
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"Eh bien, pour la Fraternité musulmane,
chaque enfant français doit avoir la possibilité de bénéficier,
du début à la fin de sa scolarité, d'un enseignement islamique. (...)
Ce qu'ils souhaiteraient au fond c'est que la plupart des femmes
soient orientées vers des écoles d'éducation ménagère,
et qu'elles se marient aussi vite que possible..." (p.82)
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"...le programme scolaire en lui-même
devra être adapté aux enseignements du Coran..." (p.83).
devra être adapté aux enseignements du Coran..." (p.83).
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"Ils sont persuadés qu'il va se passer
quelque chose de grave en France pour les Juifs..." (p.103).
quelque chose de grave en France pour les Juifs..." (p.103).
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"Quand un parti musulman arrive au pouvoir,
ce n'est jamais très bon pour les Juifs..." (p.104).
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"Si le candidat musulman passait
Marie-Françoise était certaine de ne pas retrouver sa chaire,
Marie-Françoise était certaine de ne pas retrouver sa chaire,
aucun poste d'enseignement
ne pourrait être occupé par une femme
dans une université islamique..." (p.140).
ne pourrait être occupé par une femme
dans une université islamique..." (p.140).
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"Les nouveaux statuts de l'université islamique de Paris-Sorbonne
m'interdisaient d'y poursuivre mes activités d'enseignement..." (p;178)
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"Mais il y a pour moi un rapport entre
l'absolue soumission de la femme à l'homme,
l'absolue soumission de la femme à l'homme,
telle que la décrit Histoire d'O,
et la soumission de l'homme à dieu,
telle que l'envisage l'Islam..." (p.261).
et la soumission de l'homme à dieu,
telle que l'envisage l'Islam..." (p.261).
HOUELLEBECQ DESPISES BRUSSELS :
"Je m'y étais rendu quelques années plus tard,
au fond davantage pour Baudelaire;
c'étaient surtout la saleté
et la tristesse de la ville qui m'avaient frappé,
ainqi que la haine palpable,
plus encore qu'à Paris ou à Londres,
ente les communautés :
à Bruxelles on se sentait,
plus que dans toute autre capitale européenne,
au bord de la guerre civile.
Tout récemment, le Parti musulman de Belgique
venait d'accéder au pouvoir..." (p.278).